il y a des voies sans lumières
ils imposent le "que faire"?
il y a des routes- barrières
qui explosent du laisser-faire
il y a des jours où tout prospère
mais y en a d'autres où on galère
cependant, impossible de satisfaire
les magies des espoirs et le désespoir de la misère
alors il y a des jours à faire
il y a des jours parfois des tours
la vie est un jeu de poker
on peut tout miser sans un retour
on peut tout gagner sans calembours
il y a des jours où tout est clair
où tout se dissipe dans un doux air
quand tout est fade, que se dessine la dégringolade
reste à partir vers l'ultime escapade
faire ses valises sous cette douce brise
rejoindre des villes grises, où nos corps sous les ponts gisent
il y a des jours où on doit oublier
le plus tendre souvenir, falsifier c'est ce qui reste aux massacrés!
la mémoire pourrait être une hécatombe
une odeur emportée fera qu'on tombe
il y a des jours où on nous pousse à nous exiler
en grande force rarement par nécessité
atteints vieux et jeunes de la maladie de la cessité
cœuraveugle, esprit conditionné
il y a des jours où on doit s'oublier
arracher les racines et nous calciner nous les machines
rebrûler Rome et Carthagène sans aucune gêne
refaire l'Histoire sans les faux slogans de la solidarité
brûler les vieux livres de prière qui détériorent la vie sur terre
inviter le vieux Darwich le camarde à déclamer notre nouveau hymne de la liberté
remettre à plat les manuels où le pays est une ritournelle
de salauds et de salopes affamés du sang des tourterelles
massacrer l'hymne national qu'on oublie dès qu'on se refait le mental
parce qu'on ne s'est jamais appropriés les pierres des terres des oliviers
il y a des jours où on devient une injure
alors on doit se raturer
où juste se gommer pour pouvoir comme des godasses usées roupiller
dans les coins sombres et la poussière
couverts de boue, ouvrant la gueule comme le corps qui pestifère
il y a des jours où l'enfer est nous et la terre
ils imposent le "que faire"?
il y a des routes- barrières
qui explosent du laisser-faire
il y a des jours où tout prospère
mais y en a d'autres où on galère
cependant, impossible de satisfaire
les magies des espoirs et le désespoir de la misère
alors il y a des jours à faire
il y a des jours parfois des tours
la vie est un jeu de poker
on peut tout miser sans un retour
on peut tout gagner sans calembours
il y a des jours où tout est clair
où tout se dissipe dans un doux air
quand tout est fade, que se dessine la dégringolade
reste à partir vers l'ultime escapade
faire ses valises sous cette douce brise
rejoindre des villes grises, où nos corps sous les ponts gisent
il y a des jours où on doit oublier
le plus tendre souvenir, falsifier c'est ce qui reste aux massacrés!
la mémoire pourrait être une hécatombe
une odeur emportée fera qu'on tombe
il y a des jours où on nous pousse à nous exiler
en grande force rarement par nécessité
atteints vieux et jeunes de la maladie de la cessité
cœuraveugle, esprit conditionné
il y a des jours où on doit s'oublier
arracher les racines et nous calciner nous les machines
rebrûler Rome et Carthagène sans aucune gêne
refaire l'Histoire sans les faux slogans de la solidarité
brûler les vieux livres de prière qui détériorent la vie sur terre
inviter le vieux Darwich le camarde à déclamer notre nouveau hymne de la liberté
remettre à plat les manuels où le pays est une ritournelle
de salauds et de salopes affamés du sang des tourterelles
massacrer l'hymne national qu'on oublie dès qu'on se refait le mental
parce qu'on ne s'est jamais appropriés les pierres des terres des oliviers
il y a des jours où on devient une injure
alors on doit se raturer
où juste se gommer pour pouvoir comme des godasses usées roupiller
dans les coins sombres et la poussière
couverts de boue, ouvrant la gueule comme le corps qui pestifère
il y a des jours où l'enfer est nous et la terre
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